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multiples collectivités territoriales réparties sur trois niveaux : la commune, le département et la région. Il existe également des collectivités territoriales
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Draguignan et à l'évêché de Riez, 1270 : appartenait à Rimbaud d'Estelle, 1315 : 24 feux, vers 1460 : la seigneurie appartenait à Jean I de Raimondis, seigneur
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d'Aran le mentionne ; puis un acte de Louis X le Hutin, datant du 3 novembre 1315, et relatif à l'« établissement de garnisons pour défendre le royaume du
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en 1246 ; Hostaud en 1250 ; Estaz en 1262 ; Houstault en 1282 ; Ostal en 1315 ; Hostal en 1492. Pour des articles plus généraux, voir Climat de la
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s'agissait du dernier ordre religieux présent à Pamiers. Les Augustins En 1315, les Augustins sont présents au quartier de Loumet. De leur bâtiment ne reste
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quai de Conti aux administrations, collectivités ou entreprises ; Le stockage de pièces de monnaie pour le compte de la Banque de France sur le site de
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en place et le village compte une soixantaine de maisons. Les conditions météorologiques sont très mauvaises entre avril 1315 et avril 1316. Pluie et
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d'église sur son territoire. Les fondations de l'ancienne église Notre-Dame de 1315 sont détruites en 1957. Seuls subsistent la cloche et le coq de la girouette
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Chalon-Arlay, fils de Jean l'Antique et de Laure de Commercy, pour le Mont Rivel. 1315 : Guillemette de Commercy, fille de Gaucher II et petite-fille de Gaucher
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déterminées par le code général des collectivités territoriales. Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre
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renchérissement annuel moyen se chiffre à 0,9 %. La dette des collectivités publiques en 2011 se situe à 36,5 % du PIB. En 2014, la croissance annuelle
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siècle) ; Aeseraule (1296) ; Aziraule (1313) ; Axeraille (1313) ; Exeraille (1315) ; Ezerauble (XIVe siècle) ; Aizeraille (1327) ; Exeraule (1346) ; Eyziraille
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partie de ces Juifs se réfugie dans le Comté de Bourgogne. Le 28 juillet 1315, une ordonnance de Louis le Hutin qui reconnaît leur nécessité, leur permet
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de la France ancienne et moderne, volume 2 de Claude-Marie Saugrain, page 1315, et en 1770 le Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules
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l'Ancoup en 1289 ; Montigniacum Lancourt en 1293 ; Montigny Lencoust en 1315 ; « Montigniacum l'Ancoust, alias Teigneux » vers 1350 (Pouillé) ; Montegny
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et ville religieuse, il s'y tint sept conciles provinciaux entre 1061 et 1315. Sa vocation religieuse fut aussi affirmée par la création d'un couvent des
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octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le 7 novembre 2021). Les comptes de la commune Chiffres clés Évolution et structure
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cathédrale,qui la possédaient encore en 1790 ». L'église est construite en 1315, mais est en partie détruite puis globalement remaniée, et le clocher renversé
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qu'un hameau. Le nom de la localité est attesté sous les formes Espiènes (1315) ; Espiennes (1389) ; Pienne (1779) ; Pienne en Piennois. La Pienne ou Piennes
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dans les collectivités de Saint-Barthélemy et Saint-Martin en vertu d'un décret du 6 février 1911, ce n'est pas le cas des autres collectivités d'outre-mer